Information de Next Dose

Lien vers l’interview : https://www.youtube.com/watch?v=6huIqIwPs_c et le message épinglé.

Nous reprenons le message épinglé par Nicolas Bouvier ci-dessous, et y nous répondons point par point :
– En noir et en italique : le message épinglé par Nicolas Bouvier sur sa chaîne.
– En bleu : le droit de réponse de Guillaume et Sébastien. 

Mise au point d’Anne Marie-Yim suite à des questions et critiques durant l’émission (la censure sur Youtube fait que certains commentaires n’ont pas pu être affichés) :
Nicolas Bouvier poste un message d’Anne-Marie Yim le 29 novembre 2024, message qu’il épingle et qui s’affiche donc à la vue de tous au tout début des commentaires sous la vidéo de l’interview.
Nous n’avons pas été informés par Nicolas Bouvier et il n’a pas pris le temps de vérifier les allégations d’Anne-Marie Yim à notre égard, ce qui le rend de fait complice de la propagation de ces mensonges.
Nous découvrons ce message le 10 décembre et postons un commentaire en réponse au message épinglé par Nicolas Bouvier. 5 minutes plus tard, notre réponse est supprimée !
Le même message a été posté dans les commentaires généraux, et lui aussi a été immédiatement supprimé… Drôle de pratiques !

Décortiquons le message d’Anne-Marie Yim :

Les Next Dose , je le rappelle ont viré ma préface de leur première auto édition, alors approuvée par Me Maud Marian leur avocate , qui est leur avocate.
Nous n’avons jamais demandé à Anne-Marie Yim de nous écrire une préface, c’est elle qui nous l’a proposé (sans contrepartie). Et nous n’avons jamais supprimé la préface d’Anne-Marie Yim de la 1ère édition de notre livre intitulé “Covid-19 : l’avis de 2 soignants bien emmerdants” vendu uniquement sur notre site internet à partir du 8 juin 2023.
Afin de nous protéger contre d’éventuels procès qui pourraient survenir suite à la publication de notre livre, nous avons fait relire celui-ci à notre avocate en avril-mai 2023, donc sans la préface d’Anne-Marie Yim. La préface n’a jamais été “approuvée” par notre avocate.
> Plus d’infos : https://www.nextdose.fr/critiques01/ (p.7–8)

Me Maud Marian qui au passage dans la plainte pour empoisonnement déposée par Me Jean-Pierre Joseph, basée sur le rapport de Christine Cotton n’a pas déposé les pièces à temps et du fait : la plainte a été irrecevable.
Ces propos sont complètement hors sujet. Nous ne sommes absolument pas au courant des autres affaires que gèrent notre avocate, et il est très grave d’insinuer que nous ayons pu influencer, de près ou de loin, le cours de ses autres dossiers. Nous laissons le soin à notre avocate de répondre ou non, de façon publique ou privée, à ses allégations.

Ils ont ensuite réédité le livre avec Patrick Pasin, qui a signé un contrat de distribution avec la maison d’édition Hachette, dont le président en 1981 est Mr Henri on , le père d’Alexandra Henrion- Claude. La maison d’édition Hachette a ensuite été rachetée par le groupe Lagardere, puis Bolloré qui collabore avec Thalès id sur la plateforme d’identité numérique et supporte le transhumanisme. Quel est le montant du contrat??? De qui se moque t-on????
Début juillet 2023, après avoir envoyé notre livre à des dizaines de personnalités dont des éditeurs, Patrick Pasin des éditions Talma Studios nous informe qu’il souhaite éditer notre livre. Nous informons Anne-Marie Yim qui nous demande alors un pourcentage pour rémunérer sa préface. L’éditeur nous dit qu’un préfacier n’est jamais rémunéré, il donne sa notoriété pour valoriser les auteurs d’un livre, sans contrepartie. Comme elle insiste, nous trouvons un accord pour l’intégrer au contrat d’édition. Nous lui proposons 10 % des bénéfices prévus pour les auteurs. Elle nous répond le 11 juillet 2023 : “Merci infiniment pour les 20 %” !
Sachant que la préface fait 6 pages, sur un livre de 200 pages, soit 3 % du total, qu’elle n’a engagé aucun frais et ne prend aucun risque puisqu’en cas de plainte, seuls les auteurs sont pénalement responsables… Il est surprenant qu’elle critique aujourd’hui Patrick Pasin alors qu’elle souhaitait être dans le contrat de sa maison d’édition…
Dans le contrat avec l’éditeur, il n’est nullement fait mention d’une distribution avec Hachette. Nous signerons le contrat avec les éditions Talma Studios en août 2023, sans Anne-Marie Yim puisque nous nous sommes fâchés le 18 juillet au sujet de sa publication scientifique. Ce contrat a par ailleurs été rompu fin décembre 2023. À ce jour, nous n’avons pas reçu le moindre centime des éditions Talma Studios.
Nous avons alors lancé la 2ème édition de notre livre en auto-édition intitulé “Covid-19 : le narratif à l’épreuve du microscope” vendu uniquement sur notre site internet à partir de janvier 2024.
Nous n’avons par ailleurs aucun lien, de près ou de loin avec la famille Henrion-Caude, ou les sociétés Lagardère, Bolloré, Thalès, ni aucun lien d’intérêt avec les promoteurs du transhumanisme.
> Plus d’infos : https://www.nextdose.fr/critiques01/ (p.9, 10, 11)

Le même Sebastien a bloqué la publication que j’avais écrite en disant que c’était Cédric Anweiler qui l’avait écrite: un mensonge pour bloquer la publication , pourtant acceptée sur Infectious disease.
Depuis plusieurs semaines, nous réclamions à Anne-Marie Yim de nous envoyer le texte de la publication scientifique qu’elle rédigeait sur les travaux que nous menions de notre côté depuis des mois. Elle nous l’enverra le 12 juillet et uniquement en anglais.
Le fichier d’origine que nous envoie Anne-Marie Yim comporte très clairement la signature numérique d’un certain Cédric Annweiler, personne que nous ne connaissons pas du tout. Ni elle ni Jean-Marc Sabatier ne nous donneront plus d’information.
> Plus d’infos : https://www.nextdose.fr/critiques01/ (p.12)
En effectuant de simples recherches sur Internet, nous voyons qu’il est responsable d’un service gériatrie qui promeut les nouvelles technologies et autres objets connectés au sein d’un “Living Lab”, le 1er service de ce genre en France…
> Plus d’infos : https://www.chu-media.info/article/allegro-au-chu-dangers-1er-living-lab-geriatrique-et-hospitalier-de-france/
https://www.chu-angers.fr/le-chu-d-angers/a-la-une/actualites/2018/allegro-le-1er-living-lab-geriatrique-hospitalier-de-france-au-chu-d-angers-77083.kjsp
Dans la foulée, Anne-Marie Yim nous informe avoir déjà lancé la pré-publication pour la revue par les pairs. Sachant que nous ne l’avions ni lu une seule fois, ni débattu ensemble, ni approuvé, alors qu’il est stipulé à la fin de la publication “Les auteurs ont lu et approuvé le manuscrit”.
> Plus d’infos : https://www.nextdose.fr/critiques01/ (p.16, 27)
Il y a pour nous de gros problèmes dans cette publication. Nous envoyons nos commentaires et demandes de modifications de la publication dès le 17 juillet.
> Plus d’infos : https://www.nextdose.fr/critiques01/ (p.28, p.33, 34, 35, 36)
Le lendemain, nous nous heurtons à un mur ! Anne-Marie ne souhaite pas modifier la moindre ligne, elle nous dit avoir protégé son texte chez un huissier. Jean-Marc Sabatier n’est pas présent mais nous informera plus tard qu’il est très compliqué de modifier une publication déjà envoyée en peer review. Yves Couvreur est au téléphone avec Anne-Marie et visiblement la défend. Nous ne comprendrons pas un mot de ce qu’il dit. Nous aurions dû faire un débat entre tous les protagonistes AVANT la demande de publication… Etant donné les propos outrageants d’Anne-Marie à notre encontre et l’impossibilité de modifier quoi que ce soit, nous décidons de mettre un terme à notre collaboration.
Un mail sera envoyé à Anne-Marie Yim et Jean-Marc Sabatier dans lequel nous leur laissons le soin de reproduire notre travail avec notre protocole, et de refaire une publication de leur côté, mais sans nos noms et nos images.
> Plus d’infos : https://www.nextdose.fr/critiques01/ (p.37)
18 mois plus tard, ce ne sera toujours pas fait. Pourtant, eux sont des scientifiques, et le travail ne prend que quelques heures.
Anne-Marie Yim nous harcèlera littéralement, nous et nos proches, pendant des mois, pour revenir sur notre décision. Elle continuera pendant des mois à utiliser nos images contre notre volonté et donc sans notre consentement.
De même qu’elle continue à diffuser cette publication contre notre volonté, publication qui n’est de fait toujours pas publiée au grand public dans le journal auquel elle a été soumise, puisqu’elle a été soumise sans notre accord… “Les auteurs ont lu et approuvé le manuscrit”.
Notre droit à l’image n’est pas respecté et cela est très grave puisqu’il y a récidive dans l’espace public, et à de multiples reprises malgré nos courriers de refus.

Pourquoi les gens du CNRS qui ont réalisé les images avec le microscope électronique a balayage n’ont pas eu de problème, alors que j’ai été convoquée par la police judiciaire. De qui se moque t-on????
Les auteurs d’images prises au microscope commettent-ils un déli ? Quant à la convocation d’Anne-Marie Yim à la police judiciaire, nous ne savons pas de quoi elle parle et nous n’avons rien à voir avec cela.

Pourquoi Benoît Ochs a fait courir le bruit au Luxembourg que je n’avais pas de doctorat ????
Nous avons rencontré Benoît Ochs qu’une seule fois lors d’une conférence en Belgique en septembre 2023 et n’avons jamais eu le moindre échange avec lui depuis. Nous ne sommes absolument pas responsables de ces éventuels propos à l’égard d’Anne-Marie Yim.

Pourquoi les travaux de Next Dose ont été présentés avec Astrid Struckelberger, docteur en psychologie, qui affirme que les virus n’existent pas???? DE QUI SE MOQUE T- ON????”
Il faut demander à l’animateur de l’émission sur TV ADP, Eric Montana, avec qui Anne-Marie Yim a fait de nombreuses émissions… Nous ne voyons pas le rapport entre les propos d’Astrid Stuckelberger et nos travaux. D’ailleurs, il ne nous semble pas qu’elle ait beaucoup relayé nos travaux. Nous n’avons jamais pu échanger avec elle, n’ayant ni son téléphone ni son adresse mail… Là aussi, nous ne voyons pas le rapport entre elle et nous.

Conclusion :
Nous constatons une nouvelle fois l’acharnement d’Anne-Marie Yim à nous dénigrer, à s’accaparer nos propres travaux, et à faire circuler d’ignobles rumeurs à notre encontre.
Nous sommes dans une situation personnelle extrêmement délicate, en plus du handicap que Sébastien subit depuis plusieurs mois. Devoir nous justifier ou revenir sur des mensonges auquels nous avons déjà répondu est pour nous éprouvant.
Pour Nicolas Bouvier, en tant que responsable d’une chaîne YouTube, colporter des mensonges, pourrait aussi vous être reproché en cas de plainte pour diffamation publique et non respect de notre droit à l’image. Nous vous remercions dorénavant de bien vouloir respecter notre image et notre probité.

Sébastien Iozzia & Guillaume Bousquières, le 14 décembre 2024 pour Next Dose.