Information de Next Dose
25 Décembre 2024
Un mensonge répété 100 fois n’en fait pas une réalité…
Et pourtant, cela fait partie de l’une des stratégies de propagande ayant eu lieu lors des pires heures de notre histoire.
Cette manipulation de l’esprit crée une illusion de la vérité chez une majorité de personnes n’ayant pas les outils ou les compétences pour vérifier si une information est vraie ou fausse.
Que cette technique soit utilisée par le pouvoir politique ou les médias mainstream reste compréhensible, mais quand cette manipulation est utilisée par des scientifiques de la “dissidence”, nous en restons abasourdis !
Tout a commencé par la diffusion de notre second film intitulé “Next Dose 2 : Mais que contiennent ces injections ?” le 10 décembre 2022.
Nous y présentions diverses anomalies observées au microscope, dans les 4 “vaccins” ou injections anti-covid autorisées en Europe.
De plus, nous rélévions d’étranges structures ainsi que des anomalies cellulaires, aussi bien in vitro (dans un tube à essai) qu’in vivo (chez les personnes injectées). Parmi elles, citons les fusions cellulaires de globules blancs (un syncytium ou des syncytia) et la nétose (mort d’un certain type de globules blancs, les polynucléaires neutrophiles, par explosion).
Aucun scientifique au monde n’a jusqu’à présent décrit ce genre de phénomènes, réactions liées aux injections elles-mêmes et non à la protéine spike.
- Aucune personne non injectée et ayant eu la maladie covid ne présente ces anomalies dans son sang.
- Nos travaux montrent qu’in vitro, l’ajout d’injection à ARNm au sang d’une personne non vaccinée engendre les phénomènes de syncytium et de nétose (voir “Next Dose 3 : Faut-il encore des preuves ?“).
Au lieu de reproduire nos observations afin d’en certifier la réalité et d’en chercher les mécanismes sous-jacents, il était bien plus facile de tenter de nous décridibiliser, en plus de la censure officielle et de l’omerta officieuse de la “dissidence” sur nos observations…
Pour ne pas parler de l’essentiel, nous avons eu droit à une campagne de mensonges, de calomnies et de diffamations pendant des mois, tandis que le public faisait face à la duperie et à la tromperie.
C’est ainsi qu’une certaine Annelise Bocquet, docteur en biologie santé et enseignante en hématologie-immunologie, aurait pu rapidement mettre ses compétences en hématologie pour aider la communauté à comprendre les phénomènes que nous observions au microscope. Au lieu de cela, elle s’est obnibulée à ressasser les mêmes idioties sur l’interprétation qu’elle faisait de nos travaux.
Alors que nous venions de sortir Next Dose 3 le 11 novembre 2023, et qui donnait beaucoup plus de compréhension sur les effets des injections sur le sang, Annelise Bocquet revenait sans cesse sur une séquence de 3 minutes de Next Dose 2 (timer de 04:03 à 07:02), où nous observions un probable parasite d’origine biologie ou semi-synthétique dans un flacon de “vaccin” à ARNm.
Le 23 novembre 2023, le lendemain de la diffusion de l’interview que nous avions faite chez Kairos Presse intitulée “Observations inquiétantes dans le sang des injectés“, Annelise Bocquet répond :
“Excusez-moi… ils n’ont pas observés des spermatozoïdes dans les fioles, au moins ? Parce que ça, c’est un spermatozoïde…”
Pour information, cette interview avait été tournée le 25 septembre 2023 lors de notre tournée en Belgique. Nous ne participerons absolument pas à sa mise en images, le montage ayant été réalisé entièrement par Kairos Presse, qui publiera donc cette interview presque 2 mois plus tard.
Trois jours plus tard, le 26 novembre 2023, Annelise Bocquet continue à répandre ses rumeurs :
“Je ne sais pas mais ce qu’ils montrent dès le début de l’interview, ce sont des spermatozoïdes. Aucun doute là-dessus. Bon… soit ils se sont plantés de fioles (il n’y a pas que les injections qui sont conservés à -80°C)… je n’ose pas émettre les autres hypothèses.”
Après un spermatozoïde, maintenant des spermatozoïdes ! Tout en insinuant que nous nous serions trompés de fiole, voire pire, qu’ils proviendraient de nous-mêmes ? Ceci est totalement absurde et n’est fait que pour décridibiliser l’ensemble de nos travaux.
Pour rendre le subterfuge encore plus crédible, elle rajoute une image prise sur le net (sur fond gris) d’un vrai spermatozoïde et la place à côté d’une image tirée de notre film…
L’illusionnisme est un art que peu de gens maîtrisent. Malheureusement, pour la plupart des gens, le doute est semé…
Quelques mois plus tard, le 23 avril 2024, Annelise Bocquet renchérit en devenant grossière de surcroît :
“Next Dose, les gars qui prennent des spermatozoïdes pour des nanobots ? Gros foutage de gueule… Lui laborantin ? Ça m’étonnerait…”
Il faut savoir que pendant cette nouvelle réaction désobligeante d’Annelise Bocquet, Sébastien était hospitalisé en soins intensifs suite à un AVC hémorragique.
Nous avons là un langage cru, particulièrement irrespectueux et outrageants pour nos travaux. Elle en arrive même à mélanger les termes spermatozoïdes et nanobots ! Le pire, c’est que nous n’avons jamais parlé de nanorobots…Dans notre film, nous avons qualifié cet élément de “structure d’aspect parasitaire”.
Quant au diplôme de laborantin de Sébastien, il est bien réel. Et non seulement il a le diplôme, mais en plus il exploite la microscopie à des fins personnelles depuis près de 30 ans.
En revanche, nous n’avons à ce jour pas vu une seule image au microscope qui serait réalisée par Annelise Bocquet. En tant qu’enseignante en hématologie, elle ne parlera jamais des fusions cellulaires de neutrophiles ni de la nétose des globules blancs observés chez les personnes injectées. Tout ceci nous paraît édifiant, surtout pour quelqu’un faisant parti d’un “Conseil scientifique indépendant” !
Enfin, le 2 juillet 2024, Annelise Bocquet persiste et signe dans son jugement :
“Je confirme : spermatozoïde ! Et les petits spz ne se portent pas très bien… Faudrait qu’ils consultent et pas qu’un urologue. […] C’est pas 1 spz mais plusieurs… Non seulement ils prennent les gens pour des buses, mais c’est tellement gros que ça passe crème. […]”
Le 27 février 2024, nous avions publié une petite vidéo comparative entre notre observation de “parasite” dans Next Dose 2 et de vrais spermatozoïdes pour montrer que cela n’avait rien à voir.
Visiblement, elle continue dans son interprétation. Elle se montre à nouveau très désobligeante en insinuant que le donneur de sperme ayant permis cette observation aurait un problème de santé. Il nous semble que ce n’est pas de son ressort, qu’on ne lui a pas demander de réaliser un diagnostic de la qualité du sperme et qu’il n’y a aucun élément nouveau dans son discours qui soit pertinent.
Le problème avec ce genre de mensonges répétés à tort et à travers, c’est qu’ils sont repris tels quels par diverses personnalités afin de nous nuire et de discréditer l’ensemble de nos travaux. Celà est très grave et nous ne pouvons laisser passer tous ces mensonges sans réagir, surtout quand ils émanent de personnalités à forte influence.
Prenons par exemple la vidéo de Jean-Dominique Michel du 22 juin 2024 intitulée “Faux-vaccin anti-Covid : quelle arme biologique ?!” (timer 37:33 et 38:56) ou encore la vidéo du 27 septembre 2024 intitulée “La dissidence noyautée ?!” (timer 22:45).
Le narratif de “Next Dose qui observe des spermatozoïdes dans les fioles” revient inlassablement… Ceci est pure calomnie, mensonge et tromperie envers le public.
Nous avons donc fait analyser les images du fameux “parasite” observé dans un flacon de “vaccin” à ARNm à une équipe de vrais “professionnels du sperme“, en l’occurence dans un laboratoire de fertilité qui réalise près de 300 observations au microscope par jour.
Voici leurs réactions et leurs explications sur nos images :
Dans toutes nos observations, nous avons toujours pris un maximum de précautions pour ne pas contaminer un échantillon mais aussi pour ne pas nous contaminer nous-mêmes… Toutes nos observations sont authentiques, honnêtes et reproductibles pour une grande partie. Comme toujours, c’est à chacun de se forger sa propre opinion. Ne jamais prendre une information, quelle que soit la source, pour vérité acquise.
En science, il est toujours important de savoir partager les points de vue, de débattre des diverses théories, de vérifier par la pratique afin d’avancer dans la compréhension d’un phénomène nouveau. L’utilisation d’un microscope, la coloration d’un frottis sanguin, l’analyse d’un échantillon avec un spectromètre, un testeur d’ondes électromagnétiques… sont autant d’outls permettant de confronter une théorie au réel. N’oublions jamais cela !
Car oui, ce que nous voyons dans le sang des personnes injectées est tellement nouveau qu’aucun scientifique au monde ne pourrait comprendre tout ce qu’il observe sans partager ses observations à un collège de professionnels pruridisciplinaires allant du secteur médical à l’industrie des nouvelles technologies.
Nous espérons qu’en 2025, d’autres amateurs ou professionnels de la microscopie, de la microtechnologie et d’autres disciplines pourront nous éclairer de leurs découvertes.
En attendant, nous vous souhaitons à toutes et à tous de joyeuses fêtes de fin d’année !
Guillaume & Sébastien.